Photos - Musée MRJ MOI

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La section juive de la M.O.I.

Contre le fascisme | Début de la guerre

janv 1940 - sept 1940

L’occupation | Création de « Solidarité »

sept 1940 - juin 1941

Antisémitisme d’État | Ripostes 

Juin - Août 1941

Résistance armée

Août - Oct 1941

Exécution d’otages 

Oct - Déc 1941

Persécutions | La Résistance

Janv - Juil 1942

Rafle du Vel’d’Hiv | Les FTP-M.O.I.

Juil 1942 - Fev 1943

Sauvetage des enfants juifs 

Août 1942 - Mai 1943

Stalingrad | Soulèvement du ghetto de Varsovie

Création de l’UJRE 

janv 1943 - mars 1944

Répression | Les grandes filatures

Avr 1943 - Mars 1944

Unification de la Résistance 

Avr - Sept 1944

Insurrection et Libération 

Oct 1944 - Nov 1945

Fin de la guerre | Reconstruction

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Le 26 août 1942 à Lyon, 1016 Juifs considérés comme apatrides sont arrêtés puis internés dans le camp de Vénissieux (photo du 27 août).

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Un groupe d’ Éclaireurs israélites s’occupant d’enfants juifs réfugiés.

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« Hommage de la Nation aux Justes de France », plaque apposée dans la crypte du Panthéon, le 18 janvier 2007.

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L’évêque de Nice, Mgr Rémond et Moussa Abadi (« Monsieur Marcel ») dissimulant entre les livres religieux les fiches d’enfants juifs cachés dans des couvents ou des familles. Nice 1943.

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Enfants juifs cachés dans le home d’enfants La Maison des Roches, dirigé par le pasteur André Trocmé (dernier rang, au centre). Le Chambon-sur-Lignon, entre 1941 et 1943.

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Le pasteur André Trocmé (à gauche) a protégé un très grand nombre de Juifs contre le nazisme, notamment avec l’aide des habitants du Chambon-sur-Lignon.

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Le village du Chambon-sur-Lignon dont la communauté protestante s’est illustrée pendant la l’occupation en cachant 2500 Juifs. Le village entier a été désigné « Juste parmi les nations » en 1990.

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La Maison des enfants de Moissac, créée par les Éclaireurs israélites de France, accueille près de 500 enfants juifs, grâce à la complicité active de la population.

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Le château de Chabannes, géré par l’OSE, héberge en 1942 plus de cent enfants juifs. En déc.1943, le château est fermé et les enfants confiés au réseau Garel.

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Centre de l’UGIF à Louveciennes : le 22 juillet 1944, enfants et monitrices sont arrêtés ; 6 enfants seront déportés vers Bergen-Belsen et survivront, 34 autres vers Auschwitz dont 33 assassinés dès leur arrivée.

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Après les rafles de l’été 1942, l’UGIF ouvre des centres pour enfants en banlieue et à Paris (dont le foyer de la rue Lamarck). Ces maisons sont sous le contrôle du CGQJ et de la Gestapo.

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Les 10 et 11 fév. 1943, Paul Vergara et Madeleine Guillemot, membres de La Clairière, œuvre protestante à Paris, cachent 63 enfants juifs exfiltrés du centre UGIF de la rue Lamarck, avec l’aide de Suzanne Spaak et Sophie Schwartz.

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Larissa Wuzek-Gruszow, d’abord placée à l’UGIF, est ensuite cachée par Sophie Schwartz, de la section juive de la M.O.I., à La Clairière puis dans une famille à la campagne.

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Certains des acteurs du MNCR engagés dans le sauvetage des enfants.

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Odette Rosenstock et Moussa Abadi, créateurs du « réseau Marcel », à Nice en 1943. Ils sauveront 527 enfants juifs dans la région niçoise avec l’aide de l’évêché et de pasteurs protestants.

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L’orphelinat « Beiss Yessoïmim » à Saint-Maur-des-Fossés ( la Varenne-Saint-Hilaire) : en mars 1943, les enfants sont évacués dans la Nièvre, pour y être cachés. Ils échapperont à la déportation.

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Troupes allemandes traversant la frontière soviétique avec un canon pendant l’opération Barbarossa (22 juin 1941).

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Soldats soviétiques sous le feu allemand (septembre 1941).

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Soldats allemands progressant avec peine vers Moscou et affrontant le « général Hiver » en décembre 1941).

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Fanion communiste (Nord-Pas-de-Calais, printemps 1941).

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Dispositif utilisé par les résistants communistes pour la projection retardée de tracts : l’eau de la boîte s’écoule, le piège à souris se détend et expédie les tracts.

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Clavier d’une machine à écrire avec caractères hébraïques, utilisé pour les textes en yiddish.

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Alphabet yiddish (composé de caractères hébraïques).

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Entrée de la caserne Borgnis-Desbordes à Versailles, centre de tri pour les volontaires désireux de s’engager à la LVF et de porter l’uniforme allemand.