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Centre de l’UGIF à Louveciennes : le 22 juillet 1944, enfants et monitrices sont arrêtés ; 6 enfants seront déportés vers Bergen-Belsen et survivront, 34 autres vers Auschwitz dont 33 assassinés dès leur arrivée.

Documents

L’UGIF constitue un fichier des enfants juifs recueillis après l’arrestation de leurs parents (septembre 1942).

Cartes

Carte des bureaux de l’UGIF en 1942.

Photos

Le château de Chabannes, géré par l’OSE, héberge en 1942 plus de cent enfants juifs. En déc.1943, le château est fermé et les enfants confiés au réseau Garel.

Photos

La Maison des enfants de Moissac, créée par les Éclaireurs israélites de France, accueille près de 500 enfants juifs, grâce à la complicité active de la population.

Tracts

Extrait d’un tract du MNCR appelant les chrétiens « à prendre l’initiative d’une formidable campagne qui mette en branle l’opinion publique » (1 mars 1943).

Photos

Le village du Chambon-sur-Lignon dont la communauté protestante s’est illustrée pendant la l’occupation en cachant 2500 Juifs. Le village entier a été désigné « Juste parmi les nations » en 1990.

Photos

Le pasteur André Trocmé (à gauche) a protégé un très grand nombre de Juifs contre le nazisme, notamment avec l’aide des habitants du Chambon-sur-Lignon.

Photos

Enfants juifs cachés dans le home d’enfants La Maison des Roches, dirigé par le pasteur André Trocmé (dernier rang, au centre). Le Chambon-sur-Lignon, entre 1941 et 1943.

Photos

L’évêque de Nice, Mgr Rémond et Moussa Abadi (« Monsieur Marcel ») dissimulant entre les livres religieux les fiches d’enfants juifs cachés dans des couvents ou des familles. Nice 1943.

Biographies

« Hommage de la Nation aux Justes de France », plaque apposée dans la crypte du Panthéon, le 18 janvier 2007.

Tracts

Tract des mouvements de Résistance à propos des enfants de Vénissieux. Tous les enfants juifs ont été exfiltrés du camp durant la nuit du 28 au 29 août 1942.

Tracts

Tract du MNCR appelant les Français à s’opposer aux persécutions contre les enfants juifs.

Documents

Télégramme de René Bousquet, secrétaire général de la police de Vichy aux préfets, exigeant de libérer totalement leur région de tous les Juifs étrangers (22 août 1942).

Documents

Lettre du pasteur Marc Boegner à Pétain s’élevant contre les rafles et la déportation des Juifs étrangers. Nîmes, le 20 août 1942.

Documents

Rapport du 14/08/1942, du SS-Obersturmführer H. Röthke à A. Eichmann, relatif à la déportation de 1.000 Juifs à Auschwitz, précisant que ce convoi comprend pour la 1ère fois des enfants.

Documents

Lettre du 3 août 1942 de Jean Leguay, délégué du secrétaire général de la police de Vichy René Bousquet, sur la séparation des parents et de leurs enfants dans les convois de déportation.

Documents

Les principaux ecclésiastiques engagés contre les persécutions de Juifs et dans le sauvetage des enfants.

Documents

Texte original manuscrit de la lettre pastorale de Mgr Saliège, archevêque de Toulouse, dénonçant les persécutions antisémites (23 août 1942) et sa transcription.

Journaux

Unzer Wort dénonce l’extermination et appelle à prendre les armes : « 11000 déportés juifs hommes, femmes et enfants ont été asphyxiés par du gaz, que les bandits nazis ont testé sur eux ».

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Centre de l’UGIF à Louveciennes : le 22 juillet 1944, enfants et monitrices sont arrêtés ; 6 enfants seront déportés vers Bergen-Belsen et survivront, 34 autres vers Auschwitz dont 33 assassinés dès leur arrivée.

L’UGIF constitue un fichier des enfants juifs recueillis après l’arrestation de leurs parents (septembre 1942).

Carte des bureaux de l’UGIF en 1942.

Le château de Chabannes, géré par l’OSE, héberge en 1942 plus de cent enfants juifs. En déc.1943, le château est fermé et les enfants confiés au réseau Garel.

La Maison des enfants de Moissac, créée par les Éclaireurs israélites de France, accueille près de 500 enfants juifs, grâce à la complicité active de la population.

Extrait d’un tract du MNCR appelant les chrétiens « à prendre l’initiative d’une formidable campagne qui mette en branle l’opinion publique » (1 mars 1943).

Le village du Chambon-sur-Lignon dont la communauté protestante s’est illustrée pendant la l’occupation en cachant 2500 Juifs. Le village entier a été désigné « Juste parmi les nations » en 1990.

Le pasteur André Trocmé (à gauche) a protégé un très grand nombre de Juifs contre le nazisme, notamment avec l’aide des habitants du Chambon-sur-Lignon.

Enfants juifs cachés dans le home d’enfants La Maison des Roches, dirigé par le pasteur André Trocmé (dernier rang, au centre). Le Chambon-sur-Lignon, entre 1941 et 1943.

L’évêque de Nice, Mgr Rémond et Moussa Abadi (« Monsieur Marcel ») dissimulant entre les livres religieux les fiches d’enfants juifs cachés dans des couvents ou des familles. Nice 1943.

Paul Vergara

Women’s International Zionist Organisation (WIZO)

Témoignage chrétien

Mouvement National Contre le Racisme (MNCR)

« Hommage de la Nation aux Justes de France », plaque apposée dans la crypte du Panthéon, le 18 janvier 2007.

Tract des mouvements de Résistance à propos des enfants de Vénissieux. Tous les enfants juifs ont été exfiltrés du camp durant la nuit du 28 au 29 août 1942.

Tract du MNCR appelant les Français à s’opposer aux persécutions contre les enfants juifs.

Télégramme de René Bousquet, secrétaire général de la police de Vichy aux préfets, exigeant de libérer totalement leur région de tous les Juifs étrangers (22 août 1942).

Lettre du pasteur Marc Boegner à Pétain s’élevant contre les rafles et la déportation des Juifs étrangers. Nîmes, le 20 août 1942.

Rapport du 14/08/1942, du SS-Obersturmführer H. Röthke à A. Eichmann, relatif à la déportation de 1.000 Juifs à Auschwitz, précisant que ce convoi comprend pour la 1ère fois des enfants.

Lettre du 3 août 1942 de Jean Leguay, délégué du secrétaire général de la police de Vichy René Bousquet, sur la séparation des parents et de leurs enfants dans les convois de déportation.

Les principaux ecclésiastiques engagés contre les persécutions de Juifs et dans le sauvetage des enfants.

Texte original manuscrit de la lettre pastorale de Mgr Saliège, archevêque de Toulouse, dénonçant les persécutions antisémites (23 août 1942) et sa transcription.

Unzer Wort dénonce l’extermination et appelle à prendre les armes : « 11000 déportés juifs hommes, femmes et enfants ont été asphyxiés par du gaz, que les bandits nazis ont testé sur eux ».

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